« Un été fort satisfaisant, le deuxième meilleur de l’histoire de la Société »
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Source : Communiqué de presse de Transat A.T.
Pour le quatrième trimestre :
·      Revenus de 844,7 millions $, par rapport à 808,6 millions $ en 2013.
·   Résultat d’exploitation ajusté1 de 72,9 millions $, par rapport à 80,6 millions $ en 2013.
·   Résultat net ajusté3 de 49,4 millions $, par rapport à 54,8 millions $ en 2013.
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Pour la période de 12 mois :
·   Revenus de 3,8 milliards $, par rapport à 3,6 milliards $ en 2013.
·   Résultat d’exploitation ajusté1 de 91,8 millions $, par rapport à 116,6 millions $ en 2013, en baisse de 24,8 millions $ (la baisse du dollar canadien, à elle seule, a entraîné une augmentation des charges opérationnelles de 36,0 millions $ au cours de la saison d’hiver).
·   Résultat net ajusté3 de 45,2 millions $, par rapport à 62,6 millions $ en 2013.
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MONTRÉAL, le 11 déc. 2014 /CNW Telbec/ – Transat A.T. inc., l’une des plus grandes entreprises de tourisme intégrées au monde et le chef de file de l’industrie des voyages vacances au Canada, a enregistré des revenus de 844,7 millions $ pour le trimestre terminé le 31 octobre 2014, par rapport à 808,6 millions $ en 2013, en hausse de 36,1 millions $ ou 4,5 %. La Société affiche un résultat d’exploitation ajusté1 de 72,9 millions $ par rapport à 80,6 millions $ en 2013; et un résultat net de 30,6 millions $ (0,79 $ par action sur une base diluée), par rapport à 54,7 millions $ (1,40 $ par action sur une base diluée) en 2013. Excluant les éléments non liés à l’exploitation, Transat affiche un résultat net ajusté3 de 49,4 millions $ en 2014 (1,27 $ par action sur une base diluée), par rapport à 54,8 millions $ (1,40 $ par action sur une base diluée) en 2013.
« Nous avons enregistré de très bons résultats sur le marché transatlantique, de même que des profits sur le marché Sud et au départ de la France. En dépit d’une hausse de plus de 10 % de l’offre globale déployée sur le marché transatlantique, ces résultats sont parmi les meilleurs que nous ayons connus pour le second semestre. Dans toute notre histoire, nous avons fait mieux une seule fois, soit l’an passé, qui a été un été record. Nos efforts, menés sur tous les fronts, notamment les coûts, le produit, le marketing et la gestion des revenus ont donné les résultats attendus. On peut donc parler d’une saison fort satisfaisante » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction de Transat.
« Pour l’exercice dans son ensemble, nos résultats s’expliquent également par les initiatives découlant du plan de réduction des dépenses et d’amélioration des marges, qui est responsable d’un écart favorable cumulatif d’au moins 55 millions $ par rapport à 2011, dont 20 millions enregistrés en 2014, écart dont l’effet a cependant été amoindri par la baisse du dollar et les conditions de marché » a ajouté M. Eustache, qui a également signalé que Transat fera état des grandes lignes de son plan stratégique 2015-2017 en mars prochain.
Faits saillants du quatrième trimestre
La Société a enregistré des revenus de 844,7 millions $, par rapport à 808,6 millions $ en 2013, en hausse de 36,1 millions $ ou 4,5 %, et un résultat d’exploitation ajusté1 de 72,9 millions $ par rapport à 80,6 millions $ en 2013. Pour le trimestre, le nombre de voyageurs a augmenté de 5,4 % par rapport à l’année dernière. Les prix de vente moyens ont affiché des hausses, et l’euro et la livre sterling se sont appréciés par rapport au dollar canadien. La diminution du résultat d’exploitation ajusté est attribuable au marché transatlantique, sur lequel l’offre globale déployée a augmenté de 10 % par rapport à l’année précédente.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l’étranger, ont augmenté de 28,8 millions $ (5,0 %) comparativement à la même période en 2013. L’augmentation des revenus découle d’une hausse de 3,3 % du nombre de voyageurs et d’une hausse des prix de vente moyens. Pour le trimestre, la Société a déployé une capacité semblable à celle de l’an dernier sur le marché transatlantique et a haussé son offre de 7 % sur le marché des destinations soleil. Les activités nord-américaines se sont soldées par un résultat d’exploitation ajusté de 55,5 millions $, comparativement à 69,1 millions $ en 2013. La dépréciation du dollar canadien par rapport au dollar américain, à l’euro et à la livre sterling a entrainé une augmentation des charges opérationnelles, compensée en partie par les efforts de la Société en matière de gains d’efficacité, mais la diminution du résultat d’exploitation ajusté découle avant tout de l’effet sur les prix de vente et les coefficients d’occupation d’une augmentation substantielle de l’offre sur le marché transatlantique.
En comparaison de 2013, les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites en Europe et auCanada, ont augmenté de 7,2 millions $ (3,0 %), en raison d’une augmentation du nombre de voyageurs de 15,1 %, enregistré principalement sur les destinations moyen-courriers, et de la vigueur de l’euro et de la livre sterling par rapport au dollar canadien. Les prix de vente moyens en devise étaient légèrement inférieurs à ceux de la même période en 2013, à cause de variations dans le mix de produits vendus. Les activités européennes se sont soldées par un résultat d’exploitation ajusté de 17,4 millions $, comparativement à 11,5 millions $ en 2013.
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Faits saillants de l’exercice
Pour l’exercice, la Société affiche des revenus de 3,8 milliards $, comparativement à 3,6 milliards en 2013. Elle enregistre un résultat d’exploitation ajusté1 de 91,8 millions $ par rapport à 116,6 millions $ en 2013. La hausse des prix de vente moyens et l’effet de la conversion des revenus générés dans les filiales hors Canada (compte tenu de l’appréciation de l’euro et de la livre sterling par rapport au dollar canadien) ont compensé l’effet de la décision de la Société de réduire ses capacités sur ses marchés (Sud, transatlantique et France) et celui de la baisse des coefficients d’occupation. Une portion importante des dépenses de la Société est faite en dollars américains, en euros et en livres sterling. L’appréciation de ces devises par rapport au dollar canadien a résulté en une hausse des charges opérationnelles. L’augmentation des prix de vente et les gains d’efficacité n’ont pas été suffisants pour compenser entièrement l’effet des augmentations des coûts.
Pour l’hiver, la Société a enregistré des revenus de 2,0 milliards $, comparativement à 1,9 milliard $ en 2013, et une perte d’exploitation ajustée1 de 27,8 millions $, par rapport à 18,3 millions $ en 2013. Au cours du semestre, la Société a diminué sa capacité sur certains marchés, d’où une baisse globale du nombre de voyageurs de 3,6 %. La capacité sur les destinations soleil est demeurée quant à elle similaire à celle de 2013. Les prix de vente moyens ont affiché des hausses, et l’euro et la livre sterling se sont appréciés par rapport au dollar canadien. L’appréciation du dollar américain par rapport au dollar canadien, survenue au premier trimestre, a résulté en une hausse importante des charges opérationnelles. L’augmentation des prix de vente et les gains d’efficacité n’ont pas été suffisants pour compenser entièrement l’effet des augmentations des coûts.
Pour l’été, la Société a enregistré des revenus de 1,8 milliard $, comparativement à 1,7 milliard $ en 2013, et un résultat d’exploitation ajusté1 de 119,7 millions $ par rapport à 134,9 millions $ en 2013. La hausse des revenus s’explique par l’effet de la conversion des revenus générés dans les filiales hors Canada (compte tenu de l’appréciation de l’euro et de la livre sterling par rapport au dollar canadien), par les hausses de prix moyen et par l’augmentation de 2 % du nombre de voyageurs. La dépréciation du dollar canadien par rapport au dollar américain, à l’euro et à la livre sterling a entrainé une augmentation des charges opérationnelles, compensée en partie par les efforts de la Société en matière de gains d’efficacité, mais la diminution du résultat d’exploitation ajusté1 découle avant tout de l’effet sur les prix de vente et les coefficients d’occupation d’une augmentation de 10 % de l’offre sur le marché transatlantique comparativement à 2013.
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Situation financière
Au 31 octobre 2014, la trésorerie et les équivalents de trésorerie s’établissaient à 308,9 millions $, par rapport à 265,8 millions $ à pareille date en 2013. L’augmentation est attribuable au résultat réalisé au cours des 12 derniers mois, aux taux de conversion sur les sommes conservées en Europe ainsi qu’aux nouvelles ententes avec les processeurs de cartes de crédit en Europe. Le ratio de fonds de roulement était de 1,12, par rapport à 1,10 au 31 octobre 2013, et les dépôts reçus des clients pour des voyages à venir s’établissaient à 424,5 millions $, par rapport à 410,3 millions $ au 31 octobre 2013. Les ententes hors bilan, excluant les ententes avec les fournisseurs de services, représentaient 690,3 millions $ au 31 octobre 2014, par rapport à 655,8 millions $ au 31 octobre 20134, la hausse étant attribuable à la signature d’ententes pour la location saisonnière de 8 Boeing 737 et à la hausse du dollar américain vis-à -vis du dollar canadien, compensée partiellement par les remboursements effectués au cours de l’exercice.
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Perspectives pour le premier semestre
Sur le marché des destinations soleil, la capacité de Transat est inférieure d’environ 6 % à celle offerte l’an passé. À ce jour, 41 % de cette capacité est vendue, les coefficients d’occupation sont supérieurs de 1,2 % et les prix de vente sont supérieurs de 1,4 % à ceux enregistrés à pareille date l’année dernière.
Sur le marché transatlantique, où c’est la basse saison, la capacité de Transat est inférieure de 2 % à  celle déployée l’hiver dernier. À ce jour, 44 % de cette capacité est vendue, les coefficients d’occupation sont supérieurs de 2 % et les prix de vente sont similaires.
En France, où l’hiver représente la basse saison, par rapport à l’an passé à la même date, les réservations sont inférieures de 5 % et les prix de vente sont similaires.
L’impact de la faiblesse du dollar canadien, net de la baisse du coût du carburant, sera une hausse des charges opérationnelles de 1,3 % si le dollar et le coût du carburant demeurent au niveau actuel.
En conclusion, le marché des destinations soleil au départ du Canada représente une partie substantielle de l’activité de Transat durant la saison d’hiver, et sur ce marché les marges sont particulièrement minces et volatiles. Les facteurs suivants rendent pour le moment les pronostics difficiles : la capacité globale sur le marché est supérieure de plus de 10 % à celle de l’année précédente, une portion importante de la capacité reste à vendre, les réservations se font à la dernière minute, le dollar canadien s’affaiblit par rapport au dollar américain et le prix du carburant baisse. À ce jour, les marges générées sont semblables à celles de l’année dernière à pareille date. Sachant que l’an dernier les résultats ont considérablement souffert d’une baisse soudaine du dollar canadien amorcée fin décembre, il est difficile de faire un pronostic comparatif pour l’ensemble de la saison.
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Initiatives de réduction des coûts et d’amélioration de la marge
La Société poursuit l’implantation de ses initiatives en matière de réduction des charges d’exploitation, d’amélioration des marges et de modifications à ses systèmes et processus, y compris l’internalisation d’une flotte flexible de petits porteurs au sein d’Air Transat. Les mesures ont eu tel que prévu une contribution favorable sur la marge de 20 millions $ en 2012, de 15 millions additionnels en 2013 et de 20 millions en 2014, pour un total de 55 millions sur trois ans. D’autres mesures sont prévues, qui devraient notamment générer 20 millions $ additionnels en 2015, et la Société va poursuivre ses efforts en ce sens dans le cadre de son plan stratégique 2015-2017. Transat fera état des grandes lignes de son plan stratégique 2015-2017 en mars prochain.
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Informations supplémentaires
Les résultats ont subi l’incidence d’éléments non liés à l’exploitation résumés dans le tableau suivant :
Faits saillants et impact des éléments non liés à l’exploitation sur les résultats |
|||||
(En milliers de CAD) |
|||||
Quatrième trimestre |
Exercice |
||||
2014 |
2013 |
2014 |
2013 |
||
Revenus |
844 654 |
808 616 |
3 752 198 |
3 648 158 |
|
Résultat d’exploitation |
54 227 |
70 096 |
38 746 |
71 838 |
|
Amortissements |
14 475 |
9 959 |
46 702 |
39 068 |
|
Charge de restructuration |
4 161 |
507 |
6 387 |
5 740 |
|
Résultat d’exploitation ajusté 1 |
72 863 |
80 562 |
91 835 |
116 646 |
|
Résultat avant charge d’impôts |
37 958 |
72 519 |
29 824 |
80 712 |
|
Incidence de la couverture du carburant |
21 105 |
(516) |
23 822 |
493 |
|
Charge de restructuration et goodwill |
4 530 |
507 |
6 756 |
5 740 |
|
Résultat ajusté avant charge d’impôts2 |
63 593 |
72 510 |
60 402 |
86 945 |
|
Résultat net attribuable aux actionnaires |
30 607 |
54 723 |
22 875 |
57 955 |
|
Incidence de la couverture du carburant |
15 360 |
(364) |
17 355 |
324 |
|
Charge de restructuration et goodwill |
3 386 |
465 |
5 012 |
4 288 |
|
Résultat net ajusté3 |
49 353 |
54 804 |
45 242 |
62 567 |
|
Résultat dilué par action |
0,79 |
1,40 |
0,59 |
1,51 |
|
Incidence de la couverture du carburant |
0,39 |
(0,01) |
0,44 |
0,01 |
|
Charge de restructuration et goodwill |
0,09 |
0,01 |
0,13 |
0,11 |
|
Résultat net ajusté par action3 |
1,27 |
1,40 |
1,16 |
1,63 |
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Comptabilité de couverture – La Société enregistre à l’état des résultats les gains ou les pertes résultant de l’évaluation à la juste valeur des instruments financiers dérivés qu’elle utilise pour gérer le risque lié aux fluctuations du prix du carburant d’aéronefs. Au quatrième trimestre de 2014, ceci s’est traduit par une perte hors trésorerie de 21,1 millions $ (15,4 millions $ après impôts), par rapport à un gain de 0,5 million $ (0,4 million $ après impôts) en 2013. Pour l’exercice, ceci s’est traduit par une perte hors trésorerie de 23,8 millions $ (17,4 millions $ après impôts), par rapport à 0,5 million $ (0,3 million $ après impôts) en 2013.
La Société utilise au besoin des instruments de couverture pour se protéger des fluctuations du taux de change sur ses charges et/ou ses revenus en devises étrangères. À cet égard, sur la base des normes comptables applicables, les fluctuations résultant de l’évaluation à la juste valeur de ces instruments sont comptabilisées à l’état de la situation financière consolidé et à l’état du résultat global consolidé, et non à l’état des résultats consolidé. Au quatrième trimestre de 2014, Transat enregistre un gain de 20,1 millions $ (14,7 millions $ après impôts) sur ces instruments de couverture de taux de change, par rapport à un gain de 1,6 million $ (1,2 million $ après impôts) au trimestre correspondant de 2013. Pour l’exercice, Transat enregistre un gain de 12,9 millions $ (9,3 millions $ après impôts) sur ces instruments de couverture de taux de change, par rapport à un gain de 3,8 millions $ (2,9 millions $ après impôts) en 2013.
Sommaire des éléments non liés à l’exploitation – Avant les éléments non liés à l’exploitation, Transat enregistre un résultat net ajusté3 de 49,4 millions $ pour le quatrième trimestre de 2014 (1,27 $ par action sur une base diluée) par rapport à 54,8 millions $ au trimestre correspondant de 2013 (1,40 $ par action sur une base diluée). Pour l’exercice, la Société enregistre un résultat net ajusté3 de 45,2 millions $ (1,16 $ par action sur une base diluée) par rapport à un résultat net ajusté3 de 62,6 millions $ en 2013 (1,63 $ par action sur une base diluée).
Transat A.T. inc. est un voyagiste international intégré qui compte plus de 60 pays de destination et qui distribue des produits dans plus de 50 pays. Spécialiste du voyage vacances, Transat est principalement active au Canada et enEurope, de même que dans les Caraïbes, au Mexique et dans le Bassin méditerranéen. Transat, dont le siège social est situé à Montréal, est aussi présente dans le transport aérien, l’hôtellerie, les services à destination et la distribution. (TSX : TRZ.B, TRZ.A)
NOTES
Les éléments suivants sont des mesures financières non normalisées selon les IFRS, utilisées par la direction comme indicateurs pour évaluer la performance opérationnelle continue et la performance opérationnelle récurrente.
(1) |
Résultat d’exploitation ajusté (perte d’exploitation ajustée): Résultat d’exploitation (perte d’exploitation) avant charge d’amortissement, charge de restructuration et autres éléments inhabituels importants. |
(2) |
Résultat ajusté avant charge d’impôts : Résultat avant charge d’impôts avant variation de la juste valeur des instruments financiers dérivés liés aux achats de carburant d’aéronefs, gain à la cession d’une filiale, charge de restructuration, dépréciation du goodwill et autres éléments inhabituels importants. |
(3) |
Résultat net ajusté: Résultat net attribuable aux actionnaires variation de la juste valeur des instruments financiers dérivés liés aux achats de carburant d’aéronefs, gain à la cession d’une filiale, charge de restructuration, dépréciation du goodwill et autres éléments inhabituels importants, net des impôts y afférents. |
(4) |
Le montant des ententes hors bilan au 31 octobre 2013, présenté dans le communiqué de presse de l’exercice clos le 31 octobre 2013, incluait des engagements en vertu d’ententes avec des fournisseurs aériens au montant de 112,5 millions $. Ce montant aurait dû être exclu des ententes hors bilan. |
Conférence téléphonique
Conférence téléphonique pour le quatrième trimestre de 2014 : le jeudi 11 décembre 2014 à 10 h 00. Composez le 1-800-954-0604. Nom de la conférence : Transat. Diffusion Web sur www.transat.com. L’appel sera disponible pour réécoute jusqu’au 10 janvier 2015 au 1-800-997-6910, code d’accès 21743204.
Mesures financières non normalisées selon les IFRS
Les états financiers sont dressés conformément aux Normes internationales d’information financière (« IFRS »). Dans le communiqué de presse, la Société présente parfois des mesures financières non normalisées selon les IFRS. Ces mesures n’ont pas de sens prescrit par les IFRS, et il est donc peu probable que l’on puisse les comparer avec des mesures du même type présentées par d’autres émetteurs. Elles ont pour objet d’apporter de l’information supplémentaire et ne devraient pas remplacer d’autres mesures du rendement préparées en vertu des IFRS. Tous les montants sont exprimés en dollars canadiens, à moins d’indication contraire.
Avertissement en ce qui concerne les déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient certaines déclarations prospectives à l’égard de la Société à l’effet que les réservations se poursuivront selon les tendances indiquées. En faisant ces déclarations, la Société a supposé que les tendances des réservations et des prix de vente se maintiendront, et que les coûts, les prix du carburant et la valeur du dollar par rapport aux devises étrangères demeureront stables. Si ces hypothèses se révèlent incorrectes, les résultats réels et les faits nouveaux pourront différer considérablement de ceux envisagés dans les déclarations prospectives contenues dans ce communiqué de presse. Les résultats qui y sont présentés peuvent donc différer sensiblement des résultats réels pour diverses raisons comprenant, sans toutefois s’y limiter, les conditions météorologiques extrêmes, les prix du carburant, les conflits armés, les attentats terroristes, les conditions du secteur du marché et de l’économie en général, l’apparition de maladies, l’évolution de la demande compte tenu du caractère saisonnier du secteur, la capacité de réduire les coûts d’exploitation et les effectifs, les relations de travail, les négociations collectives et les conflits de travail, les questions de retraite, les taux de change et d’intérêt, la disponibilité du financement dans le futur, l’évolution de la législation, des développements ou procédures réglementaires défavorables, les litiges en cours et les poursuites intentées par des tiers, ainsi que d’autres risques expliqués en détail de temps à autre dans les documents d’information de la société.
En soi, ces déclarations prospectives comportent des risques et des incertitudes qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent grandement de ceux envisagés dans ces déclarations prospectives. La Société considère que les hypothèses sur lesquelles s’appuient ces déclarations prospectives sont raisonnables, mais le lecteur doit se rappeler que ces hypothèses à l’égard d’événements futurs, dont bon nombre sont indépendants de sa volonté, pourraient se révéler incorrectes, puisqu’elles sont soumises à des risques et à des incertitudes qui touchent ses activités. Pour plus de détails au sujet de ces facteurs et d’autres éléments, voir le rapport de gestion pour l’exercice terminé le 31 octobre 2014 déposés auprès des commissions de valeurs mobilières canadiennes. La Société décline toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser toutes déclarations prospectives, que ce soit à la suite de nouvelles informations, d’événements futurs ou autrement, à l’exception de ce qui est exigé par les lois sur les valeurs mobilières applicables.
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SOURCE Transat A.T. inc.
Diplômé universitaire en histoire, journalisme et relations publiques, en 1993, Philippe Cauchi amorce une carrière de journalisme, analyste et consultant en aérospatiale. En 2013, il fonde avec Daniel Bordeleau, le site d’information aérospatial Info Aéro Québec.
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