MONTRÉAL – Nombre de mots : 202 –  Temps de lecture : 1 minute. Mercredi dernier, sur le coup de 11h00, aux installations de Dassault Falcon Service à l’aéroport de Paris-Le Bourget (BGT), en banlieue de Paris, l’avionneur français Dassault Falcon par la voix de son président Éric Trappier et de son Directeur Général des Avions Civils, Olivier Villa, dévoilait son tout nouveau jet d’affaires haut de gamme, le Falcon 6X, devant un aéropage de journalistes français aérospatiaux mais aussi provenant des quatre coins du monde.
En dépit de la présence de madame Maria Della Posta, vice-présidente principale de Pratt & Whitney Canada mais surtout de la conséquente implication de deux importants équipementiers québécois dans ce programme de prestige, il n’y eu aucune mention du lancement du Falcon 6X dans la presse québécoise aussi bien dans les journaux, qu’à la radio, qu’à la télévision.
Qui plus est, deux entreprises de Longueuil, municipalité de la banlieue sud de Montréal, se retrouvent fournisseurs d’importantes composantes du biréactés de luxe au prix de 47 millions de dollars américains : Pratt & Whitney Canada fournira les turbosoufflantes de ce nouveau bizjet alors qu’HérouxDevtek, les trains d’atterrissage.
Diplômé universitaire en histoire, journalisme et relations publiques, en 1993, Philippe Cauchi amorce une carrière de journalisme, analyste et consultant en aérospatiale. En 2013, il fonde avec Daniel Bordeleau, le site d’information aérospatial Info Aéro Québec.
Merci Philippe, est ce que cette modele serai un competiteur direct avec une de Bombardier? C’est comme les announces d’Airbus Helicoptere.