La dérogation autorise les vols de systèmes d’aéronefs télépilotés au sein de l’espace aérien contrôlé du centre d’essai du Centre d’excellence sur les drones d’Alma, au Québec. Il s’agit du premier vol BVLOS à cet emplacement utilisant uniquement un système embarqué de détection et d’évitement pour l’atténuation des risques aériens et ne nécessitant pas d’observateurs au sol ou de radar.

Les vols BVLOS ouvrent la voie à l’utilisation de drones autonomes pour des applications commerciales avantageuses sur le plan économique, notamment l’inspection d’infrastructures, l’exploitation minière, la cartographie, l’agriculture, les interventions d’urgence et la livraison de colis.

« L’obtention de la première approbation BVLOS au Canada confirme la validité de notre technologie et s’ajoute aux multiples autorisations que nous avons déjà obtenues d’organismes de réglementation des États-Unis et de l’Afrique du Sud », affirme Alexander Harmsen, président-directeur général d’Iris Automation. « Cette technologie est essentielle pour intégrer de façon sécuritaire les drones dans l’espace aérien avec les aéronefs avec pilotes, et nous sommes impatients à l’idée de débloquer les opérations commerciales pour nos clients au Canada. ». 

Le système embarqué de détection et d’évitement avec vision par ordinateur d’Iris Automation est la technologie la plus efficace, extensible et rentable pour permettre les opérations BVLOS commerciales. 

« Le Centre d’excellence sur les drones est heureux de mettre à profit le système de détection et d’évitement de pointe d’Iris Automation ainsi que l’expertise actuelle en matière de vol au sein de notre réseau pour effectuer des vols BVLOS avec MVT Geo-solutions », indique William de Keiser, directeur du Centre d’excellence sur les drones. « Nous allons continuer de développer notre partenariat avec Iris Automation afin d’offrir de la formation aux opérateurs locaux et permettre les vols BVLOS au Canada. »  

Les premiers vols BVLOS sont prévus dans les prochaines semaines. Les données qui seront recueillies seront utilisées à l’appui d’opérations BVLOS futures plus complexes.

À propos d’Iris Automation
Iris Automation travaille à la conception d’un système d’évitement fondé sur la vision par ordinateur qui servira à aider les drones à voir comme les pilotes. Fondée au Canada et ayant son siège social à San Francisco, l’entreprise est dirigée par une équipe dont les membres ont travaillé pour la NASA, Boeing et Nvidia, et dont certains possèdent des doctorats dans le domaine de la vision informatique. Iris est un partenaire clé de multiples programmes pilotes d’intégration de systèmes aériens sans pilote de la FAA des États-Unis et participe au programme de gestion du trafic de systèmes aériens sans pilote de la NASA ainsi qu’au programme de démonstration de technologies BVLOS de Transports Canada. Pour de plus amples renseignements, consultez le site www.irisonboard.com.      

SOURCE Iris Automation

« L’amélioration de la sécurité passe inévitablement par le changement, et le changement consiste à trouver des façons de faire plus efficaces et plus efficientes, a déclaré la présidente du BST, Kathy Fox. Dans la poursuite de cet objectif, le Bureau est reconnaissant pour le dévouement et l’ardeur au travail du personnel du BST et pour la contribution des intervenants. La sécurité de tous les Canadiens et Canadiennes, de même que l’intégrité de notre infrastructure et de notre environnement, en dépendent. »

Des résultats pour les Canadiens

Les efforts soutenus du BST en vue de simplifier et de moderniser son processus d’enquête ont continué de porter fruit en 2018-2019.

• Le Bureau a lancé 76 enquêtes et publié 78 rapports d’enquête. Le nombre d’enquêtes terminées a augmenté de 18 % en 2018-2019. C’était une deuxième augmentation en autant d’années, et l’augmentation totale depuis 2016-2017 est de 81 %.
• Le temps moyen d’exécution des enquêtes de certaines catégories a diminué, de près de 3 mois dans le cas des enquêtes de catégorie 2 et de 43 jours pour les enquêtes de catégorie 3.
• Depuis le lancement des enquêtes de portée limitée (catégorie 4), 48 rapports courts ont été produits en moins de 8 mois chacun, en moyenne.
• Conformément à son engagement à informer régulièrement et rapidement le public, le BST a fait le point 13 fois sur des enquêtes relatives à des événements très médiatisés et a commencé à afficher des mises à jour d’étape pour toutes les enquêtes des catégories 1, 2 et 3 qui sont en cours.
• De plus, le BST a traité 188 signalements confidentiels, soumis par l’intermédiaire de son programme SECURITAS. À la fin de l’année, 177 dossiers SECURITAS avaient été fermés et 11 demeuraient actifs et faisaient l’objet d’un suivi.

Liste de surveillance 2018

En octobre 2018, le BST a publié la cinquième édition de sa Liste de surveillance en tant qu’appel à l’action concernant sept enjeux de sécurité qui persistent et auxquels le gouvernement et l’industrie doivent porter attention. Le rapport annuel illustre ces enjeux et met en évidence certaines des mesures de sécurité requises pour atténuer les risques sous-jacents. Il comprend également des liens menant à divers produits d’information et de sensibilisation créés à l’appui de la Liste de surveillance 2018.

Autres communications liées à la sécurité

Outre la Liste de surveillance, le BST a produit en 2018-2019 63 nouvelles communications de sécurité, qui s’adressaient principalement aux organismes de réglementation et aux intervenants du secteur, soit 10 recommandations, 1 préoccupation liée à la sécurité du Bureau, 19 avis de sécurité et 33 lettres d’information sur la sécurité.

Tout au long de l’année, le Bureau a réévalué les progrès réalisés par rapport à diverses recommandations actives avec les résultats suivants :

• En avril 2019, le Bureau avait clos 19 recommandations en suspens, jugeant qu’elles avaient reçu une attention entièrement satisfaisante.
• Depuis 1990, le Bureau a formulé 604 recommandations, dont 81,5 % ont reçu une attention entièrement satisfaisante (soit une amélioration par rapport au taux de près de 80 % de la fin de l’exercice 2017-2018).
• Il restait toutefois encore 102 recommandations en suspens, dont 49 remontant à plus de 10 ans.

Activités d’information et présentations à des comités parlementaires

Tout au long de l’année, les enquêteurs, gestionnaires et membres du Bureau du BST ont participé à 86 activités d’information partout au pays sur les quatre modes de transport, afin de promouvoir la Liste de surveillance 2018 ainsi que de communiquer des messages de sécurité et partager les leçons tirées des enquêtes. Les dirigeants du BST ont comparu sept fois devant différents comités parlementaires pour traiter de questions liées à la sécurité des transports au Canada.

Le Rapport annuel 2018-2019, qui est en ligne sur le site Web du BST, comprend la liste des rapports d’enquête publiés au cours de l’année avec des exemples des mesures de sécurité prises.

Le BST est un organisme indépendant qui mène des enquêtes sur des événements de transport aérien, ferroviaire, maritime et pipelinier. Son seul but est de promouvoir la sécurité des transports. Le Bureau n’est pas habilité à attribuer ni à déterminer les responsabilités civiles ou pénales.

Le BST dispose d’un site Web à l’adresse www.bst.gc.ca. Obtenez de l’information à jour au moyen de fils RSS, Twitter (@BSTCanada), YouTube, Flickr et de notre blogue.

SOURCE Bureau de la sécurité des transports du Canada

GA-ASI’S PREDATOR A RPA TURNS 25

SAN DIEGO – 17 July 2019 – General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA‑ASI), a leading manufacturer of Remotely Piloted Aircraft (RPA) systems, radars, and electro-optic and related mission systems solutions, marks the 25^th anniversary of its Predator A unmanned aircraft this month. Predator A completed its first flight in July 1994 and made its operational debut in 1995. More than 320 Predator A’s have been delivered to customers in support of global security throughout the world, and the product line remained in production until 2011. Predator A’s have flown close to 141,000 missions and over two million total flight hours. More than 90 percent of those hours were flown supporting combat missions.

“With innovation in mind, we have always looked for ways to challenge the industry standard,” said Linden Blue, CEO, GA-ASI. “Our Predator-series has evolved over the past 25 years into MQ-9 and Gray Eagle (MQ-1C), which are the most combat-proven RPA in the world.”

GA-ASI won its first major program award for the Predator A in 1994 from the U.S. Joint Program Office, which was later transferred to the U.S. Air Force. In addition to the U.S., the Predator A was purchased by the Italian Ministry of Defense for the Italian Air Force, and later in a modernized version known as the Predator XP for the United Arab Emirates (UAE). Predator A established GA-ASI’s legacy of delivering long-endurance, multi-mission RPA with integrated sensors and data link systems for persistent situational awareness and rapid strike capabilities. The Predator series continues to excel in combat environments and in performing civilian surveillance missions.

“We’re proud of our long and distinguished history of supporting the warfighter,” said David R. Alexander, president, GA-ASI. “From Predator A, to Predator B, Gray Eagle, Avenger^®, and their various mission configurations, our aircraft and payload systems continue to address changing mission requirements for U.S. and Allied militaries and civilian users.”

Over its 25 year history, the Predator series fleets have flown close to six million flight hours. GA-ASI is now developing the newest version of the series, MQ-9B SkyGuardian, which complies with airworthiness certification and air traffic management requirements that will enable the RPA to operate in the National Airspace System (NAS).

Hi-resolution images of Predator A are available to qualified media outlets from the listed GA-ASI media contact.

About GA-ASI

General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA-ASI), an affiliate of General Atomics, is a leading designer and manufacturer of proven, reliable Remotely Piloted Aircraft (RPA) systems, radars, and electro-optic and related mission systems, including the Predator^® RPA series and the Lynx^® Multi-mode Radar. With more than five million flight hours, GA-ASI provides long-endurance, mission-capable aircraft with integrated sensor and data link systems required to deliver persistent flight that enables situational awareness and rapid strike. The company also produces a variety of ground control stations and sensor control/image analysis software, offers pilot training and support services, and develops meta-material antennas. For more information, visit www.ga-asi.com.

Avenger, Predator and Lynx are registered trademarks of General Atomics Aeronautical Systems, Inc.

# # # ]]> https://infoaeroquebec.net/boeing-introduces-new-unmanned-system-for-global-defense-customers/ Wed, 27 Feb 2019 17:45:00 +0000 http://infoaeroquebec.net/?p=28364 MELBOURNE, Australia, Feb. 27, 2019 —Boeing [NYSE: BA] has introduced its newest unmanned platform, the Boeing Airpower Teaming System.

Designed for global defense customers by Boeing Australia, it is the company’s largest investment in a new unmanned aircraft program outside the United States.

The aircraft will complement and extend airborne missions through smart teaming with existing military aircraft.

A model of the Boeing Airpower Teaming System was unveiled at the Australian International Airshow by the Australian Minister for Defence, the Hon Christopher Pyne MP, and Australia’s Chief of Air Force, Air Marshal Leo Davies, AO, CSC. As a research and development activity, the Australian Government and Boeing will produce a concept demonstrator called the Loyal Wingman – Advanced Development Program that will provide key learnings toward the production of the Boeing Airpower Teaming System.

“The Boeing Airpower Teaming System will provide a disruptive advantage for allied forces’ manned/unmanned missions,” said Kristin Robertson, vice president and general manager of Boeing Autonomous Systems. “With its ability to reconfigure quickly and perform different types of missions in tandem with other aircraft, our newest addition to Boeing’s portfolio will truly be a force multiplier as it protects and projects air power.”

The Boeing Airpower Teaming System will:

— Provide fighter-like performance, measuring 38 feet long (11.7 metres) and able to fly more than 2,000 nautical miles
— Integrate sensor packages onboard to support intelligence, surveillance and reconnaissance missions and electronic warfare
— Use artificial intelligence to fly independently or in support of manned aircraft while maintaining safe distance between other aircraft.

“This aircraft is a historic endeavor for Boeing. Not only is it developed outside the United States, it is also designed so that our global customers can integrate local content to meet their country-specific requirements,” said Marc Allen, president, Boeing International. “The Boeing Airpower Teaming System provides a transformational capability in terms of defense, and our customers – led by Australia – effectively become partners on the program with the ability to grow their own sovereign capabilities to support it, including a high-tech workforce.”

First flight is planned for 2020.

For more information on Defense, Space & Security, visit www.boeing.com. Follow us on Twitter: @BoeingDefense and @BoeingSpace.

The Federal Aviation Administration (FAA) has posted a rule in the Federal Register requiring small drone owners to display the FAA-issued registration number on an outside surface of the aircraft. Owners and operators may no longer place or write registration numbers in an interior compartment. The rule is effective on February 23. The markings must be in place for any flight after that date.

When the FAA first required registration of small drones in 2015, the agency mandated that the registration marking be readily accessible and maintained in readable condition. The rule granted some flexibility by permitting the marking to be placed in an enclosed compartment, such as a battery case, if it could be accessed without the use of tools.

Subsequently, law enforcement officials and the FAA’s interagency security partners have expressed concerns about the risk a concealed explosive device might pose to first responders upon opening a compartment to find a drone’s registration number. The FAA believes this action will enhance safety and security by allowing a person to view the unique identifier directly without handling the drone.

This interim final rule does not change the original acceptable methods of external marking, nor does it specify a particular external surface on which the registration number must be placed. The requirement is that it can be seen upon visual inspection of the aircraft’s exterior.

The FAA has issued this requirement as an Interim Final Rule — a rule that takes effect while also inviting public comment. The FAA issues interim final rules when delaying implementation of the rule would be impractical, unnecessary, or contrary to the public interest. In this case, the agency has determined the importance of mitigating the risk to first responders outweighs the minimal inconvenience this change may impose on small drone owners, and justifies implementation without a prior public comment period.

The FAA will consider comments from the public on this Interim Final Rule, and will then review any submissions to determine if the provisions of the ultimate Final Rule should be changed. The 30-day comment period will end on March 15, 2019. To submit comments, go to http://www.regulations.gov and search for “RIN 2120-AL32.”

As Transportation Secretary Elaine Chao promised last month, today the FAA also posted proposed new rules to let drones fly routinely at night and over people, and to further integrate them safely into the nation’s airspace. The comment period for these proposals begins tomorrow and will end April 15.

Under the agreement, IAI will provide the UAV systems and analyze the collected data. Santos Lab will operate the BirdEye 650D UAV, including its hyper-spectral wide coverage imager, a unique development made by IAI to pursue the precision agriculture market. It will be used for generating reports on these large scale farming areas according to a broad range of parameters.

The agreement is expected to generate hundreds of millions of dollars in the coming decade.

The Bird Eye 650D UAV will perform agricultural missions covering large areas utilizing beyond visual line of sight (BVLOS) missions, typical tasks include monitoring various crops such as soy and sugar cane as well as commercial forestry. The reports will include accurate analysis of the crops and soil condition. The data will be available for customers through a dedicated cloud solution, including high precision analytics that would not have been possible without the hyper-spectral technology, which allows identifying crops’ condition from high altitude at high resolution and accuracy. The service is expected to become operational at the end of 2019.

Moshe Levy, IAI EVP and general manager of its Military Aircraft Group, said, “IAI has over 40 years’ experience with UAV’s, mainly for military applications. Utilizing our systems for agricultural Applications is a good example on how we look to commercialize our knowhow to broaden our offering. IAI offers the capability to combine military technologies with commercial applications on top of IAI’s unique ability to fly UAV’s in the civilian air space. I welcome the collaboration with Santos Lab, which is bound to open additional opportunities for us”.

Gabriel Klabin, CEO at Santos Lab, said,The cooperation between a technological company such as IAI and Santos Lab is bringing to Brazil’s agro market a tool capable of changing the essential ways of monitoring the agricultural development. This system will allow farmers to take conscious decisions on how to better manage their crops in the most efficient manner, introducing precision agriculture in a large industrial scale throughout Brazilian fields. The use of this technology can positively impact the whole cycle of food production and consumption, even enabling people to eat at better costs, and this is just the beginning.

Le nouveau règlement qui entrera en vigueur le 1^er juin 2019 s’applique à tous les pilotes de drone faisant voler des appareils pesant entre 250 grammes et 25 kilogrammes dans leur champ de vision direct, que ce soit pour le plaisir, le travail ou la recherche.

Le nouveau règlement simplifié est le fruit de consultations substantielles menées auprès des Canadiens et de l’industrie. Le règlement définitif instaure deux catégories principales d’opérations de drones : les opérations de base et les opérations avancées. Les catégories reposent sur la distance entre l’appareil et les personnes au sol et sur les règles relatives à l’espace aérien.

Chaque catégorie a son propre ensemble de règles faciles à suivre, qui obligent le pilote de drone :

• à immatriculer son drone et y marquer son numéro d’immatriculation;
• à passer un examen en ligne et obtenir un certificat de pilote pour les opérations de base ou les opérations avancées;
• à avoir au moins 14 ans pour les opérations de base et 16 ans pour les opérations avancées, à moins d’être supervisé par une personne titulaire des certificats appropriés;
• à rester à une altitude inférieure à 122 m (400 pieds) au-dessus du sol;
• à rester loin du trafic aérien.

Seuls les pilotes de drone qui doivent faire voler un drone sans respecter les règles des opérations de base ou des opérations avancées devront demander un certificat d’opérations aériennes spécialisées (COAS) avant de pouvoir voler.

Transports Canada encourage les pilotes de drones à prendre le temps nécessaire pour examiner et comprendre parfaitement les nouvelles règles visant les drones au Canada et à suivre un cours offert par une école de pilotage de drone avant de tenter de passer un examen en ligne ou une révision en vol.

Les pilotes de drone devront être en mesure de présenter leur certificat de pilote et leur preuve d’immatriculation lorsqu’ils font voler leur drone dès le 1^er juin 2019. Cela veut dire qu’ils peuvent en avoir des copies électroniques sur leur appareil mobile ou des copies imprimées.

Transports Canada a également créé un site Web amélioré et convivial pour fournir des renseignements sur le nouveau règlement ainsi que des outils utiles pour tous les pilotes de drone, à l’adresse : Canada.ca/securite-drones.

Les nouveaux services de drone de Transports Canada sont maintenant disponibles sur notre site Web. Nous invitons les pilotes de drones à créer leur compte en ligne dans le Portail de gestion des drones pour y accéder facilement et en tout temps.

Jusqu’à ce que le nouveau règlement entre en vigueur, le 1^er juin 2019, les pilotes de drone à des fins récréatives doivent continuer de respecter les règles énoncées dans l’arrêté d’urgence visant l’utilisation des modèles réduits d’aéronefs et les pilotes qui utilisent leur drone pour le travail ou la recherche doivent continuer de respecter les conditions de leur certificat d’opérations aériennes spécialisées.

Tous les pilotes de drones doivent également respecter le Code criminel ainsi que la réglementation municipale, provinciale et territoriale. Compromettre la sécurité d’un aéronef est une infraction grave. Toute personne qui enfreint la réglementation risque des amendes additionnelles pouvant atteindre 25 000 $ ou une peine d’emprisonnement, ou les deux. Ces sanctions s’appliquent aux drones de toutes tailles et à tous les types d’utilisation.

Citation

« Nous avons été attentifs aux commentaires des Canadiens et avons mis à jour notre règlement afin de trouver le juste milieu entre l’aspect pratique et l’utilisation sécuritaire des drones. Les drones appartiennent à un secteur économique important et prometteur qui est susceptible d’améliorer nos vies et de relier les collectivités de tout le pays. Notre nouveau règlement créera de nouvelles possibilités pour les Canadiens en établissant un cadre réglementaire sécuritaire et prévisible qui permettra à l’industrie d’innover et aux pilotes de drone à des fins récréatives, et autres, d’accéder en toute sécurité à l’espace aérien canadien. »

L’honorable Marc Garneau
Ministre des Transports

Produits connexes

• Vidéo – Sécurité des drones – Première mission : Créez votre compte
• Infographie – Comment marquer votre drone?
• Infographie – Trouvez la catégorie d’opération de votre drone

Liens connexes

• Nouvelles règles visant les drones au Canada
• Gazette du Canada, Partie II
• Immatriculer votre drone
• Obtenir un certificat de pilote de drone
• Où faire voler votre drone (nouvelles règles)

SOURCE Transports Canada

Logo Airbus Helicopters.

Performs compliance flight without safety pilot onboard

Marignane, 20 December 2018 – The Airbus Helicopters VSR700 demonstrator took off for a fully unmanned autonomous flight at the military airbase in Istres in the south of France. The purpose of the flight was to establish compliance with the demanding regulatory and safety systems necessary for future unmanned flight in France.  During the exercise the demonstrator performed a 30 minute flight successfully executing a variety of flight patterns before landing in an autonomous mode. The unmanned air vehicle was piloted and monitored from the ground station located at the base.

The VSR700 demonstrator has been flying autonomously since May 2017 with a safety pilot as part of its development programme.  The diesel engine installed to meet naval and military requirements has been fine tuned during this period and the automatic flight control systems have been developed to meet the new regulatory standards.  This new critical operational capability is pursuing its development plan and 2019 will see the rollout of the prototype.

The VSR700 is a light military tactical unmanned aerial system able to carry multiple payloads, with an endurance of around 8 hours at 100 NM. The system will initially offer extended surveillance capabilities for navies, allowing them to preserve manned helicopter flights for critical missions.  Users will benefit from the system’s low operational cost thanks to its proven civil certified Cabri G2 platform and its low consumption diesel engine. The ideal size, it is designed to complement manned helicopters, without replacing them, on ships ranging from small corvettes to major warships.

Logo Leonardo.

• System Preliminary Design Review achieved following launch of the Tender for Development, Production and the initial in Service Supportphase
• Airbus Defence and Space GmbH will coordinate the industrial response to the Invitation to Tender(ITT)
• The schedule expects a contract signature in2019

Munich, 13 December 2018 – Another major milestone in the European Medium Altitude Long Endurance Remotely Piloted Aircraft System (MALE RPAS) programme was attained with the achievement of the System Preliminary Design Review on November 22nd. This highly significant accomplishment follows the European Organisation for Joint Armament Co-operation (OCCAR) inviting Airbus Defence and Space on October 31st to submit a Tender for the Development, Production and initial in Service Support phase of the European MALE RPAS Programme. This milestone will allow the Participating States and Industry to start developing the System with aligned requirements and a clear picture of the overall systemdesign.

As designated future prime contractor, Airbus Defence and Space will coordinate the industrial response to the Invitation to Tender (ITT) with the involvement of major Sub- Contractors: Airbus Defence & Space, Dassault Aviation SA and Leonardo.

The ITT gives testimony to the willingness of the Participating States (France, Germany, Italy and Spain) to continue with the programme after a highly successful requirement alignment phase and a convincing demonstration of the quality and fitness for purpose of the proposed design.

This successful achievement of the System Preliminary Design Review comes after a two-year definition study launched in September 2016 by the aforementioned Participating States. Three of these States had already signed a Declaration of Intent (DoI) to work together on a European MALE unmanned aerial system in May 2015, while Spain joined the programme in 2016.

Designed for flight in non-segregated airspace, its characteristics will include mission modularity for operational superiority in intelligence, surveillance and reconnaissance, both wide area and in-theatre. The Participating States’ agreed on the air vehicle configuration in mid-2017, selecting a twin-turboprop propulsion system.

By the middle of the next decade the MALE RPAS will be operated worldwide to perform Intelligence, Surveillance, Target Acquisition and Reconnaissance (ISTAR) missions.