L’escroquerie Airbus continue et le Québec en redemande.
Après avoir été victime de la plus grande escroquerie que le Canada ait connu par la cession pour un dollar symbolique de la Cseries a Airbus, lui cédant ainsi plus de 2 B$ de cout de développement pour… rien, cette compagnie anthropophage a l’audace de redemander encore de l’argent au Québec!
Il est vrai qu’Airbus n’existerait pas sans des contribuables européens, qui , selon l’OMC, lui ont déjà versés entre 250 et 300 B$. Sa culture d’entreprise est fondamentalement axée sur le financement public de ses programmes. Ils ont donc une tendance naturelle a penser que les contribuables québécois doivent aussi contribuer aux finances d’Airbus…
On nous parle de garantie d’emploi. Cette notion est ridicule. Aucune entreprise soit elle ne peut garantir l’emploi si les conditions économiques ne le permettent pas. Prétendre le contraire est de l’escroquerie intellectuelle.
On nous parle de remboursement part Airbus des 380 M CAD si les conditions du nouvel investissement québécois ne sont pas respectées….. Sérieux ? qui est assez naïf pour y croire. Les expériences antérieures avec Airbus ne laisse guère de doute sur le non-respect par l’avionneur européen sur ses engagements. Demandez par exemple a Quatar Airways, Elle pourrait vous en dire beaucoup sur le sujet…
On nous parle des commandes prises de l’avion CSeries grâce à Airbus. En fait le nombre réel de commandes dues à Airbus est très faible. L’augmentation de la cadence de production était déjà planifiée avant le hold-up sur la CSeries. L’arrivée d’Airbus n’y change rien.
On nous dit que le programme est déficitaire.
J’aimerai qu’on m’explique comment un avion qui n’a rien couté à Airbus peut apparaitre en rouge dans sa comptabilités. Il est vrai que les investissements en R&D chez l’avionneur européens sont toujours pris en charge par les contribuables. Pourquoi changer ce qui fonctionne ?. Deux possibilités. Soit les gestionnaires d’Airbus sont nulles, soit les avions sont vendus à des prix tellement ridicules que même, en ne devant couvrir que les couts de production, les ventes d’ avions sont déficitaires.
Je pense que les deux explications s’ajoutent à la réalité.
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