|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
MONTRÉAL, le 5 mai 2017 /CNW Telbec/ – Air Canada a annoncé aujourd’hui pour le premier trimestre de 2017 un BAIIALA1) (bénéfice avant intérêts, impôts, dotation aux amortissements et aux pertes de valeur et location d’avions), compte non tenu des éléments particuliers, de 342 M$, comparativement au BAIIALA de 460 M$ enregistré au premier trimestre de 2016. La compagnie aérienne a inscrit une marge BAIIALA de 9,4 % pour le premier trimestre, soit une amélioration par rapport à la marge que prévoyait Air Canada dans son communiqué de presse du 17 février 2017. L’amélioration de la marge BAIIALA par rapport aux prévisions tient principalement à un contexte de génération de produits au premier trimestre plus vigoureux que prévu, à des charges de maintenance avions inférieures aux prévisions, largement en raison du report d’activités de maintenance, et aux prix du carburant aviation plus bas que prévu. Air Canada a annoncé une perte d’exploitation selon les PCGR de 54 M$ au premier trimestre de 2017, en regard d’un bénéfice d’exploitation de 154 M$ au premier trimestre de 2016.
Air Canada a inscrit au premier trimestre de 2017 une perte nette ajustée1) de 87 M$, soit une perte nette ajustée diluée de 0,32 $ par action, contre un bénéfice net ajusté de 85 M$, soit un bénéfice net ajusté dilué de 0,30 $ par action, au premier trimestre de 2016. La compagnie aérienne a par ailleurs déclaré pour le premier trimestre de 2017 une perte nette de 37 M$, soit une perte nette diluée de 0,14 $ par action, contre un bénéfice net de 101 M$, soit un bénéfice net dilué de 0,35 $ par action, au premier trimestre de 2016. Les éléments particuliers susmentionnés sont exclus des calculs du BAIIALA présentés par Air Canada. Au premier trimestre de 2017, un élément particulier, décrit plus en détail ci-après, a accru les charges d’exploitation de 30 M$. « Alors que le premier trimestre est d’ordinaire l’un de nos plus faibles, je me réjouis de constater que le trafic réseau a augmenté de 14 % et que les produits ont crû de 8,9 % d’un exercice à l’autre, tandis que les CESMO ajustées1) ont fléchi de 6 %, rendant compte des progrès continus accomplis dans la mise en Å“uvre de notre plan stratégique à long terme. Même si la charge de carburant s’est amplifiée d’environ 48 % en glissement annuel, notre performance au chapitre de la marge BAIIALA pour le trimestre s’est améliorée en regard de la prévision formulée dans notre communiqué du 17 février 2017, a indiqué Calin Rovinescu, président et chef de la direction. « Nos perspectives pour l’exercice sont favorables au vu des améliorations que nous constatons sur les marchés intérieur, transfrontalier et transatlantique, avec une stabilisation du marché transpacifique durant le second semestre. Nous demeurons en outre sur la bonne voie pour atteindre nos principales cibles financières et prévoyons toujours dégager des flux de trésorerie disponibles1) de l’ordre de 200 M$ à 500 M$ en 2017. « Cette année représente le troisième exercice de notre initiative visant à relever sensiblement la capacité tandis que nous mettons en Å“uvre notre stratégie d’expansion internationale au moyen de la mise sur pied de notre nouvelle flotte de gros-porteurs et du déploiement fructueux de Rouge, qui se poursuit, en vue de livrer concurrence efficacement sur les marchés d’agrément. Au premier trimestre, nous avons effectué un important investissement en inaugurant notre service quotidien assuré au moyen d’appareils 787 Dreamliner de Boeing entre Montréal et Shanghaï, soit notre première ligne directe reliant cette ville à l’Asie. Cette semaine, nous avons annoncé l’instauration de nos premiers vols directs vers l’Amérique du Sud au départ de Montréal grâce au lancement du service sur Lima assuré par Rouge, ainsi que l’accroissement des services transpacifiques avec le service reliant Vancouver et Melbourne, ces deux services débutant l’hiver prochain. Les autres nouveaux services internationaux et transfrontaliers annoncés durant le trimestre comprennent Montréal-Tel Aviv, Montréal et Toronto-Reykjavik, en Islande, ainsi que Vancouver-Boston. « L’amplification de la capacité, stimulée par l’agrandissement de la flotte de gros-porteurs, commencera à ralentir en 2018 alors que la focalisation se déplacera vers le programme de remplacement de la flotte principale d’appareils monocouloirs avec l’intégration d’appareils 737 MAX de Boeing plus tard cette année, puis celle d’appareils C-Series de Bombardier à la fin de 2019. « Notre équipe de 30 000 a travaillé énergiquement à la transformation de notre culture afin qu’Air Canada devienne un champion mondial. Je tiens à remercier notre clientèle sans cesse croissante de sa loyauté, ainsi que nos effectifs de leur excellence et de leur dévouement. Au nom de la direction, je tiens également à souligner la fierté que nous ressentons à l’égard du fait qu’Air Canada a été classée parmi les employeurs les plus attrayants du Canada et qu’elle a été désignée l’un des employeurs les plus favorables à la diversité pour la deuxième année de suite ainsi que l’un des meilleurs employeurs montréalais pour la quatrième année d’affilée, de conclure M. Rovinescu. » Points saillants relativement au compte de résultat – premier trimestre Au premier trimestre de 2017, les produits passages réseau ont atteint le chiffre record de 3,095 G$, en hausse de 231 M$ (+8,1 %) par rapport au premier trimestre de 2016. L’amplification de 14,0 % du trafic traduit les augmentations constatées sur l’ensemble des cinq marchés géographiques d’Air Canada. Conformément à l’incidence prévue de la mise en Å“uvre du plan stratégique d’Air Canada en matière de croissance rentable et durable, le rendement unitaire a reculé de 5,1 % en raison principalement de l’accroissement de la longueur d’étape moyenne (qui a comprimé le rendement unitaire de 3,6 points de pourcentage pour l’ensemble du réseau). L’intensification de la concurrence sur le marché transpacifique, la majoration du nombre de sièges sur les marchés des voyages d’agrément à longue distance, la proportion accrue du trafic de correspondance entre lignes internationales et l’incidence défavorable du change ont également contribué à la contraction du rendement unitaire. Au premier trimestre de 2017, les charges d’exploitation se sont établies à 3,696 G$, en hausse de 507 M$ (+16 %) par rapport au premier trimestre de 2016, du fait du relèvement de 15,4 % de la capacité. Au premier trimestre de 2017, un élément particulier a accru de 30 M$ les charges d’exploitation, du fait de la provision au titre de l’amende imposée à nouveau par la Commission européenne relativement aux enquêtes sur le fret, amende que nous devons payer mais que nous contestons. Les charges d’exploitation par siège-mille offert (« CESMO ») ont crû de 0,4 % par rapport au premier trimestre de 2016. Les CESMO ajustées de la compagnie aérienne ont reculé de 6,0 % par rapport au premier trimestre de 2016, ce qui constitue une amélioration par rapport à la baisse de 3,25 % à 4,75 % que prévoyait Air Canada dans son communiqué de presse du 17 février 2017, surtout attribuable à la diminution de la charge de maintenance avions par rapport aux prévisions et aux autres réductions des charges d’exploitation. La charge de maintenance avions inférieure aux prévisions est attribuable au report de certaines activités de maintenance plus tard au cours de l’exercice et à la baisse des provisions liées à la maintenance relativement à l’expiration des contrats de location pour les prolongations de contrats de location visant les appareils monocouloirs. Points saillants relativement à la gestion financière et à la gestion des capitaux Au 31 mars 2017, les liquidités non soumises à restrictions (trésorerie, placements à court terme et fonds disponibles aux termes des marges de crédit) se chiffraient à 4,073 G$ (3,388 G$ au 31 décembre 2016). Au 31 mars 2017, le total de la dette à long terme et des contrats de location-financement (y compris la partie courante) s’est chiffré à 6,784 G$, en hausse de 166 M$ par rapport au 31 décembre 2016. Au premier trimestre de 2017, les nouveaux emprunts de 371 M$ ont été en partie compensés par les remboursements de 152 M$ sur la dette et par l’incidence favorable, de 54 M$, de l’appréciation du dollar canadien au 31 mars 2017 comparativement au 31 décembre 2016 à l’égard de la dette libellée en devises (principalement en dollars américains) d’Air Canada. Au 31 mars 2017, la dette nette ajustée s’élevait à 6,702 G$, ce qui représente une diminution de 388 M$ par rapport au 31 décembre 2016, qui rend compte de l’effet de l’accroissement des soldes de trésorerie et des placements à court terme compensé en partie par l’incidence de la hausse de la dette à long terme et des soldes de contrats de location-financement (évoquée plus haut), outre l’accroissement des soldes de contrats de location simple immobilisés. Au 31 mars 2017, le ratio dette nette ajustée-BAIIALA1) s’est établi à 2,5 alors qu’il était de 2,6 au 31 décembre 2016. Les flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation se sont établis à 1,027 G$ au premier trimestre de 2017, en hausse de 53 M$ par rapport au premier trimestre de 2016. Les flux de trésorerie disponibles se sont établis à  470 M$ au premier trimestre de 2017, une amélioration de 612 M$ en regard du premier trimestre de 2016 du fait de la baisse des dépenses d’investissement nettes d’un exercice à l’autre (achat d’immobilisations corporelles et incorporelles de 926 M$ déduction faite du produit de la cession-bail d’avions de 369 M$) et de l’incidence de la hausse des flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation par rapport au trimestre correspondant de 2016. Pour la période de 12 mois close le 31 mars 2017, le rendement du capital investi1) s’est établi à 12,9 %, soit une hausse prononcée par rapport au coût moyen pondéré du capital de 7,8 % d’Air Canada. Perspectives actuelles Marge BAIIALA Air Canada s’attend toujours à atteindre son objectif en ce qui a trait à la marge BAIIALA pour l’exercice 2017 au complet, soit une fourchette de l’ordre de 15 % à 18 %. CESMO ajustées Pour le deuxième trimestre de 2017, Air Canada s’attend désormais à ce que les CESMO ajustées (qui ne tiennent pas compte de la charge de carburant, des coûts liés à la portion terrestre des forfaits de Vacances Air Canada ni des éléments particuliers) baissent de 1,5 % à 2,5 % par rapport au deuxième trimestre de 2016. Pour l’exercice 2017 au complet, Air Canada prévoit désormais que les CESMO ajustées baisseront de 3,0 % à 5,0 % en regard de l’exercice 2016, contrairement à la baisse de 4,0 % à 6,0 % qu’elle prévoyait dans son communiqué de presse du 17 février 2017. Cette modification tient largement à l’incidence défavorable de la dépréciation du dollar canadien en regard du dollar américain par rapport à l’hypothèse retenue dans le communiqué du 17 février 2017. Cibles de la Journée des investisseurs
En outre, Air Canada entend toujours réduire les CESMO de 21 %, compte non tenu de l’incidence du change et des prix du carburant, d’ici la fin de 2018 en regard de 2012, et elle est dans la bonne voie pour y parvenir. Prévisions supplémentaires Pour l’exercice 2017 au complet :
Les perspectives présentées dans le présent communiqué constituent des énoncés prospectifs au sens où l’entendent les lois sur les valeurs mobilières; elles partent de diverses hypothèses supplémentaires et sont exposées à plusieurs risques. On se reportera à cet égard à la « Mise en garde concernant les énoncés prospectifs » qui suit. Principales hypothèses Dans la préparation et la communication d’énoncés prospectifs, Air Canada a formulé certaines hypothèses. Dans le cadre de celles-ci, Air Canada part de l’hypothèse que la croissance du PIB du Canada sera modeste pour 2017 et 2018. Air Canada a également présumé que le dollar canadien se négocierait en moyenne à 1,34 $ CA pour 1,00 $ US au deuxième trimestre de 2017 et pour l’ensemble de 2017, et que le cours du carburant aviation (compte tenu des couvertures à l’égard du carburant) s’établirait en moyenne à 0,65 $ CA le litre pour le deuxième trimestre de 2017 et pour l’ensemble de 2017.  1) Mesures hors PCGR Sont décrites ci-après certaines mesures hors PCGR qu’utilise Air Canada pour fournir aux lecteurs des renseignements supplémentaires sur sa performance financière et opérationnelle. Comme ces mesures ne sont pas conformes aux PCGR pour la présentation d’états financiers et qu’elles n’ont pas de sens normalisé, elles ne sauraient être comparées à des mesures similaires présentées par d’autres entités et ne doivent pas être considérées comme pouvant se substituer à des résultats établis selon les PCGR ou comme ayant préséance sur ceux-ci. Les lecteurs sont invités à se reporter à la rubrique intitulée « Mesures financières hors PCGR » du rapport de gestion du premier trimestre 2017 d’Air Canada pour un complément d’information sur les mesures hors PCGR et pour un rapprochement de ces mesures avec les PCGR du Canada.
Les états financiers consolidés résumés non audités intermédiaires du premier trimestre de 2017 d’Air Canada et les notes complémentaires ainsi que son rapport de gestion du premier trimestre de 2017 peuvent être consultés sur son site à  aircanada.com et seront déposés sur SEDAR au www.sedar.com. Pour un complément d’information sur les documents publics d’Air Canada, dont sa Notice annuelle datée du 24 mars 2017, veuillez consulter SEDAR au www.sedar.com. Avis concernant la téléconférence Air Canada invite les analystes à sa téléconférence trimestrielle qui se tiendra aujourd’hui, le 5 mai 2017, à 8 h 30 HE. Calin Rovinescu, président et chef de la direction, Michael Rousseau, vice-président général et chef des Affaires financières, ainsi que Benjamin Smith, président – Transporteurs de passagers, répondront aux questions des analystes. Après la période de questions des analystes, Michael Rousseau, vice-président général et chef des Affaires financières, et Pierre Houle, directeur général et trésorier, répondront aux questions des porteurs d’obligations et des prêteurs de type B. Les membres des médias et du public peuvent écouter cette téléconférence. Suivent les renseignements détaillés : Composez le 416-340-2219 ou le 1-800-377-0758 Écoutez la webémission audio en direct au : http://bell.media-server.com/m/p/4b8se38w MISE EN GARDE CONCERNANT LES ÉNONCÉS PROSPECTIFS Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs au sens de la législation en valeurs mobilières applicable. Ces énoncés découlent d’analyses et d’autres renseignements fondés sur la prévision de résultats à venir et l’estimation de montants qu’il est actuellement impossible de déterminer. Ils peuvent porter sur des observations concernant, entre autres, des résultats préliminaires, des prévisions, des stratégies, des attentes, des opérations projetées ou des actions futures. Ces énoncés prospectifs se reconnaissent à l’emploi de termes tels que « préliminaires », « prévoir », « croire », « pouvoir », « estimer », « projeter » et « planifier », employés au futur et au conditionnel, et d’autres termes semblables, ainsi qu’à l’évocation de certaines hypothèses. Comme, de par leur nature, les énoncés prospectifs partent d’hypothèses, dont celles décrites dans le présent communiqué, ils sont soumis à de grands risques et incertitudes. Les énoncés prospectifs ne sont donc pas entièrement assurés en raison, notamment, de la survenance possible d’événements externes ou de l’incertitude qui caractérise le secteur. Les résultats réels peuvent donc différer sensiblement des résultats évoqués par ces énoncés prospectifs du fait de divers facteurs, notamment la capacité d’Air Canada de dégager ou de maintenir une rentabilité nette ou de réaliser ses initiatives et ses objectifs, les taux de change, l’état du secteur, du marché, du crédit, de la conjoncture économique et du contexte géopolitique, les cours de l’énergie, la concurrence, la capacité d’Air Canada de mettre en Å“uvre efficacement des initiatives stratégiques opportunes ou de réduire les charges d’exploitation, sa dépendance à l’égard des technologies, les risques liés à la cybersécurité, sa capacité de rembourser ses dettes et d’obtenir du financement, les conflits armés, les attentats terroristes, les épidémies, la dépendance envers les fournisseurs clés, notamment les transporteurs régionaux et Aimia Inc, les pertes par sinistres, les relations de travail et les coûts connexes, sa capacité de préserver et faire croître sa marque, les questions de retraite, les facteurs liés à l’environnement (dont les systèmes météorologiques et autres phénomènes naturels, et des facteurs d’origine humaine), les limites imposées aux termes de clauses restrictives, les questions d’assurance et les coûts qui y sont associés, la dépendance envers les partenaires Star Alliance, les interruptions de services, l’évolution de la législation, de la réglementation ou de procédures judiciaires, les litiges actuels et éventuels avec des tiers, outre sa capacité de recruter et de conserver du personnel qualifié, ainsi que les facteurs dont il est fait mention dans le présent communiqué de presse et à la rubrique 17, « Facteurs de risque » du rapport de gestion de 2016 d’Air Canada daté du 17 février 2017 et à la rubrique 12 du rapport de gestion du premier trimestre de 2017 d’Air Canada daté du 5 mai 2017. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué représentent les attentes d’Air Canada en date du 4 mai 2017 (ou à la date à laquelle ils sont censés avoir été formulés) et ils peuvent changer par la suite. Toutefois, Air Canada n’a ni l’intention ni l’obligation d’actualiser ou de réviser ces énoncés à la lumière de nouveaux éléments d’information ou d’événements futurs ou pour quelque autre motif, sauf si elle y est tenue par la réglementation en valeurs mobilières applicable. Internet: aircanada.com
SOURCE Air Canada |
Commentaires