COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE Transat A.T. :Â
Tel qu’anticipé, un hiver affecté par
le virus Zika, une menace de grève et la faiblesse du dollar
Pour les activités poursuivies, au deuxième trimestre :
Pour les activités poursuivies, au premier semestre :
MONTRÉAL, le 9 juin 2016 /CNW Telbec/ – Transat A.T. inc., l’une des plus grandes entreprises de tourisme intégrées au monde et le chef de file de l’industrie des voyages vacances au Canada, a enregistré des revenus de 888,2 millions $ pour le trimestre terminé le 30 avril 2016, par rapport à 875,2 millions $ en 2015, en hausse de 13,1 millions $ ou 1,5 %. La Société affiche une perte d’exploitation ajustée1 de 5,0 millions $ par rapport à un résultat d’exploitation ajusté1 de 7,8 millions $ en 2015, et une perte nette attribuable aux actionnaires de 25,0 millions $ (0,68 $ par action de base et dilué), par rapport à un résultat net attribuable aux actionnaires de 24,7 millions $ (0,64 $ par action de base et dilué) en 2015. Excluant les éléments non liés à l’exploitation, Transat affiche une perte nette ajustée3 de 11,9 millions $ (0,32 $ par action) pour le deuxième trimestre de 2016 par rapport à 2,7 millions $ (0,07 $ par action) en 2015.
« Pour ce qui est des destinations soleil, c’est un hiver à oublier. Les craintes suscitées par le virus Zika, une menace de grève de nos pilotes, la faiblesse du dollar canadien et un ralentissement de la demande dans l’Ouest canadien ont empêché une amélioration de la profitabilité, masquant le fait que nos initiatives de transformation liées au plan stratégique, y compris le projet de vente de laFrance et de la Grèce, sont bien engagées. Quant à l’été, la hausse abrupte de 15 % de la capacité sur le marché transatlantique affecte les prix et les taux de remplissage. La demande est relativement ferme, mais elle n’augmente pas à ce rythme. Nous anticipons des résultats inférieurs à ceux des étés records que nous avons connus ces dernières années » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction de Transat.
Faits saillants du deuxième trimestre
La Société a enregistré des revenus de 888,2 millions $ par rapport à 875,2 millions $ en 2015. Cette hausse de 13,1 millions $ (1,5 %) découle principalement d’une augmentation globale de 2,5 % du nombre de voyageurs et d’une hausse des prix de vente moyens des forfaits sur le marché des destinations soleil, le principal marché de la Société pour cette période. Au cours du trimestre, la Société a augmenté sa capacité sur le marché des destinations soleil de 0,7 %.
La Société a enregistré une perte d’exploitation ajustée1 de 5,0 millions $ par rapport à un résultat d’exploitation ajusté1 de 7,8 millions $ en 2015. L’augmentation de la perte d’exploitation découle principalement de la dépréciation du dollar vis-à -vis du dollar américain, qui, combinée à la baisse des coûts du carburant, a entraîné une augmentation des charges d’exploitation de 25,0 millions $ sur les forfaits sud. Près de la moitié de cette augmentation a été compensée par la hausse des prix de vente moyens. Les craintes suscitées par le virus Zika, une menace de grève des pilotes d’Air Transat et un ralentissement de la demande dans l’Ouest canadien ont empêché une amélioration de la profitabilité.
Ocean Hotels, entreprise dont Transat détient 35 %, a contribué 6,3 millions $ au résultat net du trimestre comparativement à 3,7 millions $ en 2015. Cette augmentation découle de la vigueur du dollar américain par rapport aux autres devises. Cette participation représentait pour la Société un actif de 101,9 millions $ au 30 avril 2016, déduction faite du dividende de 6,7 millions $ reçu au cours des 12 derniers mois, comparativement à 94,5 millions $ au 30 avril 2015.
Au cours du trimestre, la Société a comptabilisé une charge de dépréciation d’actifs de 15,8 millions $. Celle-ci découle de la mise en place d’une nouvelle plateforme de réservation qui, en Europe, favorise l’achat de sièges directement chez Air Transat, plutôt qu’auprès des filiales européennes. Elle reflète également un recentrage sur la marque Transat, lequel entraîne l’élimination de certaines autres marques.
Faits saillants du premier semestre
La Société a enregistré des revenus de 1,6 milliard $, comparativement à 1,6 milliard $ en 2015, et une perte d’exploitation ajustée1de 36,7 millions $, par rapport à 15,0 millions $ en 2015. Au cours du semestre, la Société a augmenté sa capacité sur le marché des destinations soleil de 4,5 %. Tous marchés confondus, pour le semestre, le nombre de voyageurs a augmenté de 5,9 %.
L’augmentation de la perte d’exploitation ajustée1 découle principalement de la dépréciation du dollar vis-à -vis du dollar américain qui, combinée à la baisse des coûts du carburant, a entraîné une augmentation des charges d’exploitation de 49,0 millions $ sur les forfaits sud, dont près de 60 % a été compensé par les hausses de prix de vente. Les craintes suscitées par le virus Zika, une menace de grève des pilotes d’Air Transat et un ralentissement de la demande dans l’Ouest canadien ont empêché une amélioration de la profitabilité.
Ocean Hotels, pour le semestre, a contribué 8,2 millions $ aux résultats de la Société, comparativement à 4,3 millions $ en 2015. Cette augmentation découle de la vigueur du dollar américain par rapport aux autres devises.
Plan stratégique et initiatives liées aux marges
« Comme le montre l’avancement du projet de vente de nos activités en France et en Grèce, nous poursuivons activement la mise en Å“uvre de notre plan stratégique. Nous avons notamment pour objectif de réaliser des acquisitions du côté de la distribution, sur un nouveau marché source présentant des synergies avec nos activités canadiennes, comme les États-Unis, ou encore dans le domaine de l’hôtellerie dans les destinations soleil. Et nous prévoyons renouveler notre programme de rachat d’actions » a expliqué Jean-Marc Eustache.
Comme prévu dans son plan annoncé au premier trimestre de 2015, la Société poursuit ses efforts de réduction de coûts et d’amélioration des marges unitaires visant un total d’au moins 100 millions $ sur trois ans. Les initiatives principales ayant contribué à l’atteinte de l’objectif de 45 millions $ en 2015 ont été l’internalisation des petits porteurs et la mise en place de la flotte flexible d’Air Transat. Pour 2016, la Société prévoit des améliorations d’au moins 30 millions $, dont les initiatives principales sont la poursuite du programme de réduction des coûts chez Air Transat, l’optimisation des coûts d’hôtels et la hausse des revenus accessoires. La Société prévoit des améliorations d’au moins 25 millions $ en 2017.
Vente de Transat France et Tourgreece
Le 11 mai 2016, la Société a annoncé avoir reçu de TUI AG, le chef de file du tourisme dans le monde, une offre ferme pour l’achat de ses opérations de voyagiste en France (Transat France) et en Grèce (Tourgreece) pour une valeur d’entreprise de 54,5 millions € (79,7 millions $), sous réserve d’ajustements liés au fonds de roulement au moment de la clôture. La transaction projetée est sujette à l’approbation des autorités réglementaires européennes en matière de concurrence, de même qu’à l’obtention de l’avis consultatif du Comité d’entreprise de Transat France, comme le veut la Loi française. La clôture devrait survenir d’ici le 31 octobre 2016.
La transaction projetée n’aura aucun impact sur le programme transatlantique, les opérations et le développement d’Air Transat enFrance ou en Europe, et elle ne porte que sur les activités à destination d’autres pays que le Canada, au départ de la France. Air Transat maintiendra une structure et une équipe en France, de même que son réseau de distribution européen.
En conséquence, au 30 avril 2016, les actifs et les passifs de Transat France et Tourgreece ont été présentés comme détenus en vue de la vente aux états consolidés de la situation financière; et leurs résultats ont été présentés comme activités abandonnées aux états consolidés des résultats et du résultat global. La transaction projetée n’a aucun autre impact dans les états financiers de la Société pour la période terminée le 30 avril 2016.
Comparativement à 2015, les revenus des filiales Transat France et Tourgreece ont augmenté de 20,2 millions $ (14,1 %). Cette augmentation résulte de prix de vente moyens supérieurs et de l’ouverture de nouveaux clubs Lookéa, en partie compensée par une baisse des revenus découlant de la mise en place, au cours de l’exercice 2015, d’une nouvelle plateforme de réservation qui favorise l’achat de sièges pour les voyageurs européens directement chez Air Transat plutôt que par le biais des filiales européennes. Conséquemment, le nombre de voyageurs a augmenté de 1,0 % pour le trimestre, comparativement à 2015. Les activités abandonnées ont affiché un résultat net de 0,4 million $ (0,2 %) au cours du trimestre, comparativement à une perte nette de 1,7 million $ (1,2 %) en 2015. L’augmentation du résultat net découle principalement de la hausse des marges réalisées sur les produits de type circuit et forfait, en particulier à  Cuba et au Sénégal.
Pour le semestre, les revenus des filiales Transat France et Tourgreece ont augmenté de 36,8 millions $ (14,8 %). Cette augmentation résulte de prix de vente moyens supérieurs, en partie compensée par une baisse des revenus découlant de la mise en place de la nouvelle plateforme de réservation décrite ci-dessus. Pour le semestre, le nombre de voyageurs a diminué de 1,8 %. Les activités abandonnées ont affiché une perte nette de 7,4 millions $ (2,6 %) au cours du semestre, comparativement à 12,4 millions $ (5,0 %) en 2015. La diminution de la perte nette découle principalement de la hausse des marges réalisées sur les produits de type circuit et forfait, en particulier dans les Caraïbes, à  Cuba et au Sénégal.
La vente projetée de ses activités de voyagiste en France et en Grèce amène la Société à cesser de segmenter ses résultats sur une base géographique.
Situation financière
Au 30 avril 2016, la trésorerie et les équivalents de trésorerie s’établissaient à 440,6 millions $, par rapport à 441,5 millions $ à pareille date en 2015. La diminution est attribuable aux actions rachetées dans le cadre du programme de rachat dans le cours normal des activités mis en place en avril 2015 ainsi qu’au reclassement des actifs de Transat France et de Tourgreece comme détenus en vue de la vente, en partie compensée par les résultats réalisés au cours des 12 derniers mois. Le ratio de fonds de roulement était de 1,02, par rapport à 1,01, et les dépôts reçus des clients pour des voyages à venir s’établissaient à 483,7 millions $, par rapport à 578,4 millions $ à pareille date l’année dernière; la diminution est due au reclassement des dépôts de Transat France et de Tourgreece comme passifs liés aux actifs détenus en vue de la vente. Les ententes hors bilan, excluant les ententes avec les fournisseurs de services, représentaient 745,8 millions $ au 30 avril 2016, par rapport à 713,7 millions $ au 31 octobre 2015, l’augmentation reflétant la signature de baux d’avions et la baisse du dollar canadien, compensées en partie par les remboursements effectués au cours de la période.
Le 4 mars 2016, la Société a complété son programme de rachat d’actions dans le cours normal des activités d’une durée de 12 mois lancé le 10 avril 2015; la Société a racheté jusqu’à cette date un total de 2 274 921 actions, soit la totalité du nombre autorisé, pour une contrepartie de 16,5 millions $. Au cours du trimestre terminé le 30 avril 2016, la Société a racheté 286 431 actions, pour une contrepartie de 2,2 millions $.
La Société a l’intention de renouveler son programme de rachat d’actions dans le cours normal des activités pour une période de 12 mois et déposera une demande à cet effet auprès des autorités réglementaires. Sous réserve des approbations réglementaires et conformément aux dispositions de son offre publique de rachat d’actions dans le cours normal des activités, la Société rachètera aux fins d’annulation un maximum d’environ 2 millions d’actions, représentant 10 % du flottant des actions émises et en circulation. Un tel programme de rachat d’actions dans le cours normal des activités a pour but de permettre à la Société d’utiliser, selon les circonstances et d’une manière judicieuse, une partie de ses surplus de liquidités.
Les achats réalisés dans le cadre du programme de rachat d’actions dans le cours normal des activités seront faits sur le marché libre par l’intermédiaire de la TSX en accord avec sa politique sur les offres publiques de rachat d’actions dans le cours normal des activités. Le prix payé par la Société pour le rachat des actions sera le prix du marché au moment de l’acquisition en plus des frais de courtage. Les achats pourraient commencer une fois les approbations réglementaires obtenues.
Perspectives
Été 2016 – Le marché transatlantique, au départ du Canada et de l’Europe, représente une portion très importante de l’activité de Transat durant la saison d’été. Pour la période de mai à octobre 2016, alors que la capacité totale est supérieure de 15 %, celle de la Société est supérieure de 7 %. À ce jour, les coefficients d’occupation de Transat sur ce marché sont inférieurs de 3,3 % à ceux de l’été 2015, 62 % de cette capacité est vendue et les prix des réservations prises sont inférieurs de 6,3 % à ceux enregistrés à pareille date en 2015. La baisse du coût du carburant combinée à la faiblesse du dollar canadien entraînera une baisse des charges opérationnelles de 4,6 % si le dollar demeure au niveau actuel en regard du dollar américain, de l’euro et de la livre, et si le prix du carburant demeure stable.
Sur le marché des destinations soleil au départ du Canada, où l’été représente la basse saison, la capacité de Transat est supérieure de 1 % à celle déployée à la même date l’an passé. À ce jour, 45 % de cette capacité est vendue, les coefficients d’occupation sont inférieurs de 1,0 % et les prix de vente sont supérieurs de 1,8 %. La faiblesse du dollar canadien combinée à la baisse du coût du carburant entraînera une hausse des charges opérationnelles de 5,5 % si le dollar demeure au niveau actuel en regard du dollar américain, et si le prix du carburant demeure stable.
Quant aux activités abandonnées en France, les réservations moyen-courriers sont supérieures de 6 % et les réservations long-courriers sont supérieures de 10 % par rapport à l’an passé à la même date. Les prix de vente moyens sont similaires.
Dans la mesure où ces tendances se maintiennent, la Société prévoit au deuxième semestre des résultats globaux inférieurs à ceux de l’an dernier, qui étaient les deuxièmes meilleurs de son histoire.
Informations supplémentaires
Les résultats ont subi l’incidence d’éléments non liés à l’exploitation résumés dans le tableau suivant :
| Faits saillants et impact des éléments non liés à l’exploitation sur les résultats (En milliers de CAD) |
||||||
| ACTIVITÉS POURSUIVIES | Deuxième trimestre | Premier semestre | ||||
| 2016 | 2015 | 2016 | 2015 | |||
| Revenus | 888 221 | 875 151 | 1 613 944 | 1 559 102 | ||
| Perte d’exploitation | (13 701) | (4 039) | (54 243) | (37 539) | ||
| Amortissement | 11 718 | 11 790 | 23 224 | 22 544 | ||
| Primes liées aux dérivés arrivés à échéance au cours de la période |
(3 019) | — | (5 666) | — | ||
| Perte d’exploitation ajustée1  | (5 002) | 7 751 | (36 685) | (14 995) | ||
| Résultat (perte) avant charge d’impôts | (34 763) | 36 630 | (106 819) | (35 331) | ||
| Dérivés liés au carburant et autres dérivés | 3 877 | (39 852) | 37 964 | 2 121 | ||
| Perte sur cession d’une filiale | 843 | — | 843 | — | ||
| Dépréciation d’actifs | 15 809 | — | 15 809 | — | ||
| Primes liées aux dérivés arrivés à échéance au cours de la période |
(3 019) | — | (5 666) | — | ||
| Perte ajustée avant charge d’impôts2 | (17 253) | (3 222) | (57 869) | (33 210) | ||
| Résultat net (perte nette) attribuable aux actionnaires | (24 952) | 24 704 | (86 107) | (39 610) | ||
| Perte nette (résultat net) lié aux activités abandonnées | (381) | 1 730 | 7 380 | 12 437 | ||
| Dérivés liés au carburant et autres dérivés | 2 838 | (29 172) | 27 790 | 1 553 | ||
| Perte sur cession d’une filiale | 615 | — | 615 | — | ||
| Dépréciation d’actifs | 12 222 | — | 12 222 | — | ||
| Primes liées aux dérivés arrivés à échéance au cours de la période |
(2 210) | — | (4 148) | — | ||
| Perte nette ajustée3 | (11 868) | (2 738) | (42 248) | (25 620) | ||
| Résultat dilué (perte diluée) par action | (0,68) | 0,64 | (2,33) | (1,02) | ||
| Perte nette (résultat net) lié aux activités abandonnées | (0,01) | 0,04 | 0,20 | 0,32 | ||
| Dérivés liés au carburant et autres dérivés | 0,08 | (0,75) | 0,75 | 0,04 | ||
| Perte sur cession d’une filiale | 0,02 | — | 0,02 | — | ||
| Dépréciation d’actifs | 0,33 | — | 0,33 | — | ||
| Primes liées aux dérivés arrivés à échéance au cours de la période |
(0,06) | — | (0,11) | — | ||
| Perte nette ajustée par action3 | (0,32) | (0,07) | (1,14) | (0,66) | ||
Comptabilité de couverture – La Société enregistre à l’état des résultats les gains ou les pertes résultant de l’évaluation à la juste valeur des instruments financiers dérivés qu’elle utilise pour gérer le risque lié aux fluctuations du prix du carburant d’aéronefs, ainsi que les gains ou les pertes résultant de l’évaluation à la juste valeur de certains instruments financiers dérivés qu’elle utilise pour gérer le risque lié aux fluctuations de taux de change. Au deuxième trimestre de 2016, ceci s’est traduit par une perte hors trésorerie de 3,9 millions $ (2,8 millions $ après impôts), par rapport à un gain de 39,9 millions $ (29,2 millions $ après impôts) en 2015. Pour le semestre, ceci s’est traduit par une perte hors trésorerie de 38,0 millions $ (27,8 millions $ après impôts), par rapport à une perte de 2,1 millions $ (1,6 million $ après impôts) en 2015.
La Société utilise au besoin des instruments financiers dérivés pour se protéger des fluctuations du taux de change sur ses charges et/ou ses revenus en devises étrangères. À cet égard, sur la base des normes comptables applicables, les fluctuations résultant de la portion efficace de l’évaluation à la juste valeur de ces instruments qui sont désignés comme instruments de couverture sont comptabilisées à l’état de la situation financière consolidé et à l’état du résultat global consolidé, et non à l’état des résultats consolidé. Au deuxième trimestre de 2016, Transat enregistre une perte de 40,8 millions $ (29,9 millions $ après impôts) sur ces instruments de couverture de taux de change, par rapport à une perte de 72,5 millions $ (52,5 millions $ après impôts) au trimestre correspondant de 2015. Pour le semestre, Transat enregistre une perte de 35,2 millions $ (25,8 millions $ après impôts) sur ces instruments de couverture de taux de change, par rapport à une perte de 15,2 millions $ (10,7 millions $ après impôts) en 2015.
Sommaire des éléments non liés à l’exploitation – Avant les éléments non liés à l’exploitation, Transat enregistre une perte nette ajustée3 de 11,9 millions $ pour le deuxième trimestre de 2016 (0,32 $ par action) par rapport à 2,7 millions $ au trimestre correspondant de 2015 (0,07 $ par action). Pour le semestre, la Société enregistre une perte nette ajustée3 de 42,2 millions $ (1,14 $ par action sur une base diluée) par rapport à 25,6 millions $ au semestre correspondant de 2015 (0,66 $ par action sur une base diluée).
Transat A.T. inc. est un voyagiste international intégré qui compte plus de 60 pays de destination et qui distribue des produits dans plus de 50 pays. Spécialiste du voyage vacances, Transat est principalement active au Canada et en Europe, de même que dans les Caraïbes, au Mexique et dans le Bassin méditerranéen. Transat, dont le siège social est situé à Montréal, est aussi présente dans le transport aérien, l’hôtellerie, les services à destination et la distribution.
NOTES
Les éléments suivants sont des mesures financières non normalisées selon les IFRS, utilisées par la direction comme indicateurs pour évaluer la performance opérationnelle continue et la performance opérationnelle récurrente.
| (1) | Résultat d’exploitation ajusté (perte d’exploitation ajustée): Résultat d’exploitation (perte d’exploitation) avant charge d’amortissement, charge de restructuration et autres éléments inhabituels importants et incluant les primes relatives aux dérivés liés au carburant et autres dérivés arrivés à échéance au cours de la période. |
| (2) | Résultat ajusté (perte ajustée) avant charge d’impôts : Résultat avant charge d’impôt (perte avant charge d’impôts) avant variation de la juste valeur des dérivés liés au carburant et autres dérivés, gain (perte) à la cession d’une filiale, charge de restructuration, dépréciation d’actifs et autres éléments inhabituels importants et incluant les primes relatives aux dérivés liés au carburant et autres dérivés arrivés à échéance au cours de la période. |
| (3) | Résultat net ajusté (perte nette ajustée): Résultat net (perte nette) attribuable aux actionnaires avant résultat net lié aux activités abandonnées, variation de la juste valeur des dérivés liés au carburant et autres dérivés, gain (perte) à la cession d’une filiale, charge de restructuration, dépréciation d’actifs et autres éléments inhabituels importants et incluant les primes relatives aux dérivés liés au carburant et autres dérivés arrivés à échéance au cours de la période, net des impôts y afférents. |
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